Témoigner pour aider

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La plupart d’entre nous ont vécu l’errance médicale. Aucun médecin n’était capable d’identifier la cause de nos maux et souvent ils se retranchaient derrière une cause « psychologique »  ou mettaient les problèmes sur le compte de quelque « folie ».

 

« Ce que vous avez ne dépend pas de la médecine ».

 

Et pourtant c’était bien réel !

Soit en consultant quelques rares médecins informés ou en se soignants seuls, nous avons pu nous soigner avec des chélateurs. 

 

Le seul regret pour ceux qui ont réussi, c’est de ne pas avoir commencé plus tôt avec les bonnes méthodes. 

 


Gérard, né en 1953

 

En 2000 j’ai compris en regardant un reportage à la télévision, que mes problèmes venaient d’une intoxication par les amalgames dentaire. Je les ai fait enlever. Puis lassé des médecins ordinaires qui n’ont rien appris de ces choses, j’ai rejoint l’association. J’ai commencé par être soigné par le docteur Melet. Ensuite nous avons échangé les informations entre intoxiqués. Parmi eux, il y avait des médecins et des pharmaciens avec leur précieux conseils. 

 

Après quelques années, je n'ai plus de

  • fatigue chronique (tous les jours à 15h 30),
  • douleurs articulaires, mal de dos, torticolis,
  • raideurs dans les jambes, crampes aux mollets,
  • maux de tête, migraines, vertiges,
  • lunettes de soleil pour conduire la nuit, 
  • grincements de dents,
  • cliquetis musculaire,
  • hyper salivation, hypersudation,
  • vagues de chaleur.

Je suis plus calme, je n’ai plus d’idées fixes et j’ai retrouvé ma mémoire à court terme.

 

J’ai appris à me soigner avec des méthodes simples et efficaces.

Un jour peut-être les médecins apprendront ce chapitre de la médecine, et peut être les laissera-t-on faire leur job. 

 



Joëlle, née en 1955

 

La bouche truffée de plombage depuis ma plus tendre enfance,  j’ai toujours eu une petite santé. Mais, après la naissance de mon 3ème enfant en 1996, j’ai commencé à ressentir d’étranges phénomènes : douleurs à la main, aux jambes en montant l’escalier,  aux genoux, tensions à la gorges,  fièvres intermittentes, malaises divers et étranges qui m’interrogeaient.

 

Et jamais tous en même temps comme par une ironie du sort ! J’avais 40 ans.

  • 1998 - Des problèmes ORL se rajoutent et mes troubles psychiques explosent : Colères, difficulté à saisir les codes sociaux, sensation d’étrangeté… mais mon entourage ne voit que les colères.
  • 1999 - Après avoir rencontré tout ce que la France porte de médecins et soignants en tout genre, je ne vois plus que deux explications possibles : Soit je suis malade mentale, soit je suis empoisonnée par la pollution de la ville. Je décide que c’est la deuxième raison. Je vais partir vivre à la campagne
  • 2002 - Nous sommes tous les cinq dans la Drôme. Mission accomplie. Je vais enfin renaître…

Mais non. Mon état s’empire encore.  Tout augmente. Je ne supporte plus d’être en position de réception (écouter quelqu’un parler par exemple). Un malaise intense me saisit rapidement. Seule l’action immédiate m’en débarrasse temporairement. Je m’inscris à des cours de tai-chi et de cheval. J’ai dû renoncer. Je n’arrive plus à lire des histoires à ma fille. Trop de fatigue, trop de malaises. Et là, le coup fatal. Mes articulations continuent à devenir douloureuses : genoux, hanches, et à présent épaules.

 

Je prends alors conscience que j’ai une maladie grave. Je pense que si je ne trouve pas ce que j’ai, je m’acheminerai rapidement vers une vie d’handicapé, voire pire.

 

  • 2003 - Je  vais suivre une médecine alternative : Le régime Seignalet (sans gluten et sans lait).

En trois semaines, mes douleurs au ventre et aux articulations disparaissent. Mais, hélas, tous les autres symptômes continuèrent de s’amplifier.

Je finis par tomber sur un article d’Elke Arod sur le magazine Bio contact qui parle des plombages avec des symptômes étrangement similaires aux miens. Puis sur un article de Que choisir qui va encore dans ce sens et qui donne des contacts.

 

J’appelle alors le Docteur Melet qui me fait faire des analyses. Je sors 100 microgrammes de mercure /litre de salive ! (la norme OMS est de 1mg/litre d’eau potable !!).

 

Un long parcours du combattant s’instaure : MA DESINTOXICATION.

 

Je commence ma désintoxication avec le livre de Françine Lenher (méthode du Pr Klinghart, chlorella+ail des ours+coriandre). En quelques mois, la vie se remet à couler dans mes veines. La fatigue diminue, les malaises s’estompent. Toute la famille s’y met avec un certain succès (car mes enfants sont intoxiqués également ++  bien sûr !!). Mais au bout d’un an, les progrès ralentissent malgré que je n’ai quasiment plus de plombage.

Puis j’arrête de me désintoxiquer. Je vis mieux, mais ça ne va pas fort quand même.

 

Chélation chimique

  • 2006 - Je commence une chélation chimique au DMSA tous les 15 jours à peu près.

Les progrès recommencent, mais chaque prise me rend malade pour quelques jours. C’est pénible, de sorte que je le fait très irrégulièrement.

 

Méthode Cutler

  • 2009 - Je tombe sur la technique Cutler (mini doses rapprochées de DMSA)

La méthode Cutler est tellement géniale que j’en use et abuse. Résultat, je me réveille un matin avec un visage gonflé, déformé et un mal-être certain. Mon pharmacien préféré m’assure qu’il s’agit d’une crise de candidas albicans. Je vérifie sur Internet. Cutler met effectivement en garde : il ne faut pas dépasser 15 jours de Cutler sous peine de candidas. Je faisais des cures de 3 semaines …

Je me trouve alors dans la situation ou dès que je prends des chélateurs chimiques, j’ai une crise de candidas. Or, si je reste 15 jours à 3 semaines sans chélation, les symptômes remontent. Insoluble !

 

Irrigation colonique

 

J’essaye alors  l’irrigation colonique. Je n’ai pas regretté ma peine. Ce fut plus qu’étonnant. Les résultats dépassèrent mes espérances. Le lendemain, ma fièvre avait disparue et j’allais à peu près bien.

j’ai acheté une planche à irrigation http://www.colon-net.com,  et  j’y rajoute un pour cent en volume de bicarbonate de sodium. Les résultats sont fulgurants. Mon ventre est moins ballonné et « j’ai la pêche ».

 

A partir de 2009, donc, j’allais bien, et même très bien. Les chélations Cutler, les irrigations coloniques ont fini par me redonner la santé. Je croyais que je n’avais plus de métaux lourds en moi.

En réalité, j’en avais suffisamment peu pour que mon corps fonctionne  sans difficultés. Mais hélas, il est probable que j’en avait encore suffisamment pour développer une sensibilité aux ondes électromagnétiques. 

 

  • 2023 - J’ai compris ce dernier problème, je vais bien , mais je dois me protéger des ondes. 

 



Antoine

 

Je suis allé voir mon généraliste.

  • Bonjour Docteur, je viens vous voir une fois de plus parce que je ne suis vraiment pas en forme. Et alors là ces derniers jours je ressens comme si j’avais de l’électricité dans la bouche… Un peu comme si je testais une pile de 1,5 Volts avec les lèvres (je sais ça n’est pas des trucs à faire, mais ça m’est arrivé de le faire…).
  • Si vous ressentez de l’électricité dans la bouche c’est qu’il y en a.
  • ! ?
  • Montrez-moi. Ouvrez la bouche.
  • (…)
  • Avec ce que vous avez en bouche, rien d’étonnant. Amalgames dentaires, couronnes en or, différents métaux, un liquide acide (la salive) ; tout est réuni pour constituer une pile. 
  • C’est nouveau ?
  • Non, ça m’arrive de temps en temps, mais là c’est vraiment très sensible.
  • Vous avez un voltmètre à la maison ?
  • Oui, j’ai ça, je m’en sers pour réparer les jouets des enfants, bricoler…
  • Bien. Bous allez mesurer la tension entre vos dents en positionnant les pointes, et vous revenez me voir.
  • Merci Docteur, à demain.

 

De retour à la maison je sors l’appareil, je règle sur le calibre 2 Volts en courant continu, je mets les pointes à différents endroits dans la bouche.

 

Je mesure une tension électrique jusqu’à 0,3 Volts. 

 

Retour chez le généraliste. Exposé des résultats.

  • Il va falloir enlever tout ça. Tout ce que vous avez en bouche. Amalgames, couronnes, tout. 
  • Tout ça ??
  • Oui, amalgames dentaires, couronnes, tout. C’est la seule solution pour débrancher cette pile, et ce qui se passe dans votre bouche est très mauvais pour la santé. Allez donc voir le dentiste M. X.

Le coup d’envoi de ma désintoxication générale était donné.

Je ne remercierai jamais assez ce médecin généraliste qui m’a montré le chemin qui allait me sauver !

 



Antoine

 

Après des années à voir ma santé se dégrader, sans réponse utile de la part du corps médical en désarroi, avec toutes mes analyses OK, à me sentir nul, faible, sans énergie ni endurance, stigmatisé, où m’explique qu’il faudrait faire un effort, que c’est dans la tête, qu’il faudrait voir un psy (ce que j’ai fait d’ailleurs, utile certes, mais sans effet réel), avec de plus en plus souvent des difficultés à me concentrer, mal de tête, difficultés parfois à m’exprimer…

 

Tous ces troubles sans lien apparent ni solution trouvaient enfin un beau jour leur dénominateur commun, leur cause première : une intoxication aux métaux lourds, générée par les émanations toxiques des amalgames dentaires que j’ai en bouche !

 

A l’ignorance succèdent l’incrédulité, le doute, le déni (ça n’est pas possible !), la colère… et soudain émerge des brumes un chemin de guérison. 

 

Et ça change tout. Me voici effectivement malade, d’une vraie maladie, des maux sur lesquels on peut mettre des mots.

Votre regard sur vous-même en est changé. Ça n’est pas vous, c’est la maladie, c’est ce poison. 

 

Je vais pouvoir informer mon entourage. Et ça n’est pas facile. Ils auront les mêmes difficultés que moi à accepter cette idée. Ils redoutent que je sois tombé entre de mauvaises mains, que je perde la raison… Leur attention leur bienveillance, ou bien leur distance voire moquerie fera discerner les amis sur qui compter en cette période… Le regard des autres ça n’est pas facile.

 

Les premiers traitements m’apportent tout doucement un mieux-être général. Ça va mieux aujourd’hui. Merci. 

 

Je regrette une seule chose de cette période : j’aurais dû ouvrir un petit carnet, et noter les petits signes d’amélioration qui émergeaient, les petits progrès, comme prendre goût à une ballade, reprendre les escaliers, être capable de porter mon fils dans les bras, mieux dormir… tous ces petits signes, petits exploits oubliés du quotidien qui ont manifesté le chemin de ma guérison. Quel chemin !