Diagnostic de l’intoxication métallique
Un médecin spécialisé en chélation établira un diagnostic en se basant sur deux pistes :
La comparaison des symptômes
La comparaison de vos symptômes avec les listes établies pour les symptômes les plus courants :
- Mal au dos et aux articulations
- Hyper ou hypo salivation
- Insomnies ou hypersomnies
- Migraines, maux de tête, vertiges, photophobie, persistance rétinienne.
- Vagues de chaleur Hypersudation nocturne et/ou diurnes.
- Perturbation de la flore intestinale,
- Candidas albicans, eczéma, mycoses.
- Allergies
- Démangeaisons
- Baisse de la mémoire.
- Troubles nerveux tics, crampes, hyperactivité, bruxisme …
- Fatigue chronique lassitude.
- Troubles mentaux
- Dépressions
- Idées fixes, obsessionnelles, violentes,
- Hyperactivité, angoisse.
Le test de provocation
Une simple analyse de sang ou d’urine ne montre rien, car les métaux ne circulent pas dans le sang.
Pour les faire apparaitre le médecin fera préalablement prendre des chélateurs par intra veineuse ou par voie orale.
Les chélateurs chimiques sont de petites molécules portant deux sites thiols (S-H) proches l’un de l’autre. Ces deux sites SH vont se lier fortement à un métal lourd bivalent comme le mercure. En circulant dans l’organisme , les chélateurs vont extraire des métaux lourds. Puis les éliminer par les urines et les selles.
Les urines seront récupérées 4 ou 6 heures plus tard et un échantillon sera envoyé dans un laboratoire spécialisé.
Les résultats montrent alors dans le détail la liste des métaux que les chélateurs ont mis en circulation.
Il existe d’autres analyses possibles, mais la plus fiable c’est le test par provocation.
NaMD est une association loi 1901 créée en 1998.
NaMD fait partie de l’Alliance Mondiale pour une Dentisterie sans mercure, qui fédère les ONG nationales pour en finir avec l’utilisation de l’amalgame dentaire sur tous les continents.
NaMD est membre fondateur de l’ANAVIPS, l'alliance de 8 associations de victimes de produits de santé. Nous interpellons les instances de santé comme le ministère ou l’ANSM Agence Nationale de la Sureté du Médicament pour
- qu’ils appliquent leurs responsabilités en matière de pharmacovigilance,
- et prennent les décisions qu’impose la santé publique sur l’usage et les effets indésirables des médicaments et produits de santé.
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